sur le toit

Publié le par san Mademoisel

Sur le toit de chez moi,

 

D’ici je vois la ville excentrée puisque je suis à 12 km du centre de  Bangalore. D’un ôté une route bétonnée de l’autre des petites ruelles de terres rouges. De petites maisons des tas de briques des vaches qui mangent du plastique, des charrettes avec des chevaux pour transporter du bois et quelques hommes ou femmes qui vont chercher de l’eau.

 

Des terrains vagues qui servent de poubelles publiques, on peut s’enfoncer dans ses quartiers étroits se demander qui vient ici et avoir le sentiment de s’y perdre encore.

 

 J’ai l’impression qu’il y a des frontières invisibles où ce cache de petits villages à l’intérieur de ces areas.

 

La rue d’à côté,

On ne peut pas dire que je fasse beaucoup d’effort pour me rapprocher des grands monuments ou de l’inde atypique et fantastique dont les guident nous harcèlent. Par conséquent ce que je connaissait pas était toujours très proche juste à côté.

 

 Je viens de rencontrer le roi du quartier de ce jour  « Lukesh »  assurément 14 ans, pas plus, qui aiment les photographies et qui me présentent à toutes ses petites sœurs, qui est content de pouvoir parler avec moi. Il me fait rentrer chez et lui et m’asseoir pense que pour me faire plaisir un bon sitcom américain me mettrait à l’aise. Il ne sait pas que je sis française et que j’ai horreur de ça, pas grave ! Il fait signe à tous les gens de son quartier, j’ai l’impression qu’il fait son kakou. Ça me semble plutôt drôle.

 

 Nous sommes dimanche et il n’y pas d’école. Il y a des enfants qui s’amusent au criquet d’autres avec du sable de chantier et d’autres qui travaillent.

Publié dans madmoiselsan

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